J'écris de mon lit : aujourd'hui je n'ai pas bougé, trop malade, je suis seule à la maison pour ce week end.
J'ai mes chats sur et dans mon lit : 3 chats, dont un en "transit" qui attends sa famille définitive.
Ca dort...
Et quoi de plus beau que les pattes de chat, quoi de plus beau qu'un félidé tout doux, au repos ou en action.
Comme là :
ou ici :
ou encore celui là :
Moi je craque.
dimanche 18 novembre 2012
Ban.....lieue de vie !
J'habite en banlieue, banlieue d'une grande ville, banlieue de P...s.
Un département très proche, de mauvaise réputation, célèbre pour sa basilique, son stade d'andouilles (oui c'est ma libre opinion) et son trafic en tout genre...
Voyez de quoi je veux parler ou plutôt de quel endroit ?
Mais si, pour celles et ceux qui vivent dans la "Câpitaaaaaaaaaaaale", savez, au-dela du périph, dans le bout du monde quoi !!
Je vis là.
Par choix, en toute connaissance de cause.
Et justement, j'en cause (oui bon jeu de mot très miteux dû à ma vision limitée par ma si...nu crouic de merdoisse !
Donc j'habite dans le 9-3.
Je n'y suis pas né, ai vécu auparavant dans d'autres endroits et ne connaissait le 9-3 que par ce que j'entendais à la radio ou à la télévision (quand j'avais encore ce bidule inutile) et parce que, enfant, j'habitais très proche de la "frontière" avec le 9-3.
La banlieue quoi, la proche banlieue. J'ai aussi vécu en banlieue lointaine, les départements de "bouseux" comme les qualifiaient les parisiens de l'époque, officieusement et officiellement aussi d'ailleurs.
Mais qu'est ce que la banlieue.
Wikipedia, encore lui, écrit ceci :
Et lieue par référence à l'ancien système de calcul des distances en lieue et non pas en km.
Bref mettre de côté les masses, les remuants, les indésirables, faire place nette afin que la plèbe ne se mélange pas au reste de la population et ne crée pas de débordements.
Autant dire que le concept de banlieue existe depuis un certain moment, fin du XIX è siècle en fait.
Le cas de la banlieue parisienne étant particulier à cet égard et la petite couronne (avec les départements 93, 94 et 92, l'ovni) encore différent.
Je ne continuerais pas le cours d'histoire ni ne ferais de Politique (quoi que je parle de choses publiques et de la ville, donc de la polis, d'où politique) mais il est clair que l'acception de banlieue dépotoire, banlieue éloignement et abandon s'applique avec acuité pour la Seine Saint Denis., je l'observe tous les jours.
Je vis près d'une cité, pas la pire mais pas non plus un lieu de tranquillité. Ceci dit, j'ai traversé en bus des endroits que je n'imaginais même pas exister en 2012 à 10km de Paris, ignorés de tous dans nos cocons avec nos cerveaux lavés par la télévision et sa vision étriquée.
Moi la première qui ai vécue loin de tout cela.
Venir dans le 9-3 a été un choc pour moi, c'est vrai, même si je suis loin d'être dans un "coin qui craint" vraiment, n'en déplaise à mes "amis" parisiens ou de province. Par contre, je constate l'abandon : abandon des entreprises, donc des emplois et des rentrées de fonds pour les communes, abandon des dotations sur les services publiques, transports publics, services médicaux (trouver un spécialiste est, parfois, compliqué car, bien sur il y en a dans le 9-3, mais pas assez), référents culturels(c'est bien connu, on ne pense pas en banlieue !!).
Je force 'un petit peu) le trait mais je me rends bien compte des difficultés des habitants de mon département, ne serait ce pour se déplacer.
Je me considère comme une privilégiée : je travaille, mon logement est assez) décent, j'ai accès à la culture, à internet.
Certes je ne suis pas parisienne, j'assume et, même si on me le proposais, je ne le voudrais plus : j'ai vécu dans le 17è puis le 9è arrondissement, je ne souhaite pas y retourner.
Mais je connais aussi les échanges humains, la solidarité des communautés, avec également, en certains endroits, la misère sanitaire, éducationnelle et professionnelle.
Mais j'aime mon département d'adoption qui recèle une multitude de trésors, de chaleur, de surprises. Alors je le défends, j'explique pourquoi je me suis "exilée" ici et pourquoi je ne regrette pas : bien sur je paye le prix. Curieusement, mes "amis" de Paris ne viennent toujours pas me voir, le bus qui dessert mon lieu d'habitation (oui le bus car il y a UNE seule ligne sur ce tronçon hélas) profite de sa position de monopole pour négliger cette ligne qui est sous équipée, les bus jamais à l'heure mais toujours bondés (prévoir TRES à l'avance).
Et j'enrage, j'enrage de ce déséquilibre flagrant, de cet abandon des "élites" depuis des décennies, cet incompréhension du reste des français face à la banlieue, comme j'ai pu en être l'instrument aussi.
Je ne lancerais plus jamais le terme "banlieusarde" avec un soupçon de mépris !
Un département très proche, de mauvaise réputation, célèbre pour sa basilique, son stade d'andouilles (oui c'est ma libre opinion) et son trafic en tout genre...
Voyez de quoi je veux parler ou plutôt de quel endroit ?
Mais si, pour celles et ceux qui vivent dans la "Câpitaaaaaaaaaaaale", savez, au-dela du périph, dans le bout du monde quoi !!
Je vis là.
Par choix, en toute connaissance de cause.
Et justement, j'en cause (oui bon jeu de mot très miteux dû à ma vision limitée par ma si...nu crouic de merdoisse !
Donc j'habite dans le 9-3.
Je n'y suis pas né, ai vécu auparavant dans d'autres endroits et ne connaissait le 9-3 que par ce que j'entendais à la radio ou à la télévision (quand j'avais encore ce bidule inutile) et parce que, enfant, j'habitais très proche de la "frontière" avec le 9-3.
La banlieue quoi, la proche banlieue. J'ai aussi vécu en banlieue lointaine, les départements de "bouseux" comme les qualifiaient les parisiens de l'époque, officieusement et officiellement aussi d'ailleurs.
Mais qu'est ce que la banlieue.
Wikipedia, encore lui, écrit ceci :
La banlieue est le territoire qui entoure une ville-centre. Le terme peut parfois être rapproché de la ville-dortoir à vocation essentiellement résidentielle, mais la banlieue accueille généralement différentes activités et possède des centralités propres. Les banlieues sont souvent en France des communes administrativement indépendantes des villes centres principales même si elles sont de plus en plus regroupées au sein de communautés d'agglomérations indépendantes ou non d'une ville principale. La notion de banlieue dénote des formes urbaines différentes de celles de la ville sans pouvoir exister de façon totalement indépendantes de celles-ci. En 1968, le philosophe Henri Lefebvre dans le droit à la ville1 critique la fabrication productiviste des banlieues et explique en détail, ce qui distingue la ville et la banlieue. Aujourd'hui, dans les médias, "les banlieues" sont souvent à tort réduites a certaines cités et autres grands ensembles sensibles caractérisés par un déficit d'intégration sociale, un taux de chômage plus important que la moyenne, l'existence d'une économie parallèle, ou encore des phénomènes de violences urbaines. Ces cités et grands ensembles sont l'objet de politiques publiques importantes et sont notamment fortement étudiés par la sociologie. Ils peuvent également se caractériser par leur dynamisme, la présence d'une vie commune et de réseaux de solidarité plus forts que dans le reste de la banlieue. L'existence des banlieues est le résultat d'un débordement de la ville au-delà de ses murs ou limites (souvent inhérent à l'existence de ces limites) ou encore d'un étalement urbain, si ce n'est la mise en œuvre volontaire d'une relégation sociale ou le choix de vivre dans un contexte différent de celui d'une ville.Effectivement, si l'on décortique le mot, on trouve ban et lieue. Ban du verbe bannir c'est à dire, éloigner, mettre de côté, ôter du centre (des villes et des centres urbains).
Et lieue par référence à l'ancien système de calcul des distances en lieue et non pas en km.
Bref mettre de côté les masses, les remuants, les indésirables, faire place nette afin que la plèbe ne se mélange pas au reste de la population et ne crée pas de débordements.
Autant dire que le concept de banlieue existe depuis un certain moment, fin du XIX è siècle en fait.
Le cas de la banlieue parisienne étant particulier à cet égard et la petite couronne (avec les départements 93, 94 et 92, l'ovni) encore différent.
Je ne continuerais pas le cours d'histoire ni ne ferais de Politique (quoi que je parle de choses publiques et de la ville, donc de la polis, d'où politique) mais il est clair que l'acception de banlieue dépotoire, banlieue éloignement et abandon s'applique avec acuité pour la Seine Saint Denis., je l'observe tous les jours.
Je vis près d'une cité, pas la pire mais pas non plus un lieu de tranquillité. Ceci dit, j'ai traversé en bus des endroits que je n'imaginais même pas exister en 2012 à 10km de Paris, ignorés de tous dans nos cocons avec nos cerveaux lavés par la télévision et sa vision étriquée.
Moi la première qui ai vécue loin de tout cela.
Venir dans le 9-3 a été un choc pour moi, c'est vrai, même si je suis loin d'être dans un "coin qui craint" vraiment, n'en déplaise à mes "amis" parisiens ou de province. Par contre, je constate l'abandon : abandon des entreprises, donc des emplois et des rentrées de fonds pour les communes, abandon des dotations sur les services publiques, transports publics, services médicaux (trouver un spécialiste est, parfois, compliqué car, bien sur il y en a dans le 9-3, mais pas assez), référents culturels(c'est bien connu, on ne pense pas en banlieue !!).
Je force 'un petit peu) le trait mais je me rends bien compte des difficultés des habitants de mon département, ne serait ce pour se déplacer.
Je me considère comme une privilégiée : je travaille, mon logement est assez) décent, j'ai accès à la culture, à internet.
Certes je ne suis pas parisienne, j'assume et, même si on me le proposais, je ne le voudrais plus : j'ai vécu dans le 17è puis le 9è arrondissement, je ne souhaite pas y retourner.
Mais je connais aussi les échanges humains, la solidarité des communautés, avec également, en certains endroits, la misère sanitaire, éducationnelle et professionnelle.
Mais j'aime mon département d'adoption qui recèle une multitude de trésors, de chaleur, de surprises. Alors je le défends, j'explique pourquoi je me suis "exilée" ici et pourquoi je ne regrette pas : bien sur je paye le prix. Curieusement, mes "amis" de Paris ne viennent toujours pas me voir, le bus qui dessert mon lieu d'habitation (oui le bus car il y a UNE seule ligne sur ce tronçon hélas) profite de sa position de monopole pour négliger cette ligne qui est sous équipée, les bus jamais à l'heure mais toujours bondés (prévoir TRES à l'avance).
Et j'enrage, j'enrage de ce déséquilibre flagrant, de cet abandon des "élites" depuis des décennies, cet incompréhension du reste des français face à la banlieue, comme j'ai pu en être l'instrument aussi.
Je ne lancerais plus jamais le terme "banlieusarde" avec un soupçon de mépris !
C'est quoi être petit (ou être grand d'ailleurs) ?
Je profite (sic hélas) que ma sinusite fait de la résistance pour prendre le temps de publier à nouveau....
Les ordinateurs portables sont formidables ont peu même se connecter au lit !!
Bref.
Vendredi dernier, je suis parti à la quête d'un pyjama : oui oui, glamour n'est ce pas, un pyjama (non je ne dors pas nue avec juste N°5 de Chanel, quoi que ce soit mon parfum...).
Etant frileuse, je préfère les pyjamas.
Me voici partie donc dans une moyenne surface de centre urbain et là je vais...rayon enfant.
Mon choix se porte sur un pyjama taille 14 ans : en effet, j'ai remarqué que, suite aux lavages successifs, certains rétrécissent et le 12 ans devient trop court. Donc je prévois.
Je passe en caisse pour payer mon achat et, à ce moment, la caissière lève les yeux de sa caisse, regarde le pyjama et l'étiquette et me demande : "c'est pour un enfant".
Ma réponse : "non c'est pour moi".
Silence de l'autre côté, silence que je sens interrogateur, interloqué, curieux, étonné (oui tout ça !).
J'ajoute donc "j'ai une taille enfant" ce qui est vrai, d'où une partie de l'intitulé de ce blog, je suis petite (mot que l'on retrouve aussi en anglais d'ailleurs, voir les blogs de plus en plus en plus nombreux sur le sujet comme ici, là, ou encore là-bas, enfin là ).
Cette remarque m'a beaucoup étonnée je l'avoue, première fois que quelqu'un s'adresse à moi de cette façon, me pose cette question.
Alors soit je fais plus grande que réellement (c'est possible, je me tiens toujours très droite), soit j'ai l'air bizarre.
Pourtant, je vous assure, mon visage est celui d'une adulte, tout comme mes vêtements.
J'en viens donc à la définition de petite.
Être petit est différent du nanisme, et voici, à ce sujet, ce qu'en dit Wikipedia :
Concernant la petite taille, voici aussi ce qu'en dit wikipedia dans le même article
Cependant, je vous assure, je possède un cerveau comme tous le monde, 4 membres qui fonctionnent parfaitement (et là, oui, j'ai de la chance). Les seuls "soucis que je rencontrent sont donc de l'ordre vestimentaire ou pour atteindre les objets qui sont toujours dans les étagères les plus hautes...
Pour ce qui est des vêtements , j'ai jusqu'à présent toujours pu trouver de quoi correspondre à ma vie personnelle et professionnelle : non je ne vais pas dans les rayons enfants sauf exceptions : un pull en cashmere de bonne qualité, bien moins cher, un béret. Ou bien les lignes enfants des grands couturiers : Kenzo, Burberry, Chloe, Escada, Anne Valérie Hash. Il faut alors bien choisir pour éviter de ressembler à une grande enfant.
Pour les chaussures ( je chausse du 35, certaines petites, les veinardes, chaussant du 36 ou du 37, la vie est injuste !), c'est devenu au fil des années plus compliqué sachant, de surcroît, que je suis une "coquette des pieds" (dixit un copain), bref, j'adore les chaussures. Les belles chaussures de bonne qualité. Les magasins de premier prix (style André, Minelli, Eram et consorts) commençant au 36, je n'y vais plus : ça m'arrange, la qualité est rarement au rendez vous.
Ma solution : j’écume Ebay (surtout US ou Italie, car sur la partie France, il n'y a que très peu d'articles de qualité et de bon gout- sans commentaire pour ce dernier terme...), les grandes marques comme Marc Jacobs ou autres, ou bien les outlets de grande marques. Ou encore faites sur mesure. Oui mes chaussures coutent plus chères mais je préfère investir.
J'avais, jusqu'à récemment, plusieurs paires achetées il y a presque 20 ans, encore en bon état que je portais toujours.
Combien de paires : avant la perte de certains de mes "amours", une centaine de paires je crois.
Je suis donc petite, vraiment, et, si cela a, bien sur, orienté ma façon de vivre et une partie de mon comportement, cela n'a, cependant, rien modifié sur ma façon de penser.
Je suis aussi capable que les autres, je fais autant de couenneries que les autres, je pense même être plus débrouillarde de mes mains que d'autres (je sais peindre, couper du bois, la menuiserie, la plomberie, l'effort physique ou les travaux "sales" ne n'effraient pas comme certains ou ... certaines hélas).
Mais, surtout, je ne suis pas une DEMIE ! Je suis un tout, moi même, j'ai autant de neurones que chacun.
Je ne supporte pas la condescendance à mon égard : oui je suis petite mais cela ne signifie pas que je sois une poupée, un petit objet.
Du RESPECT merci !
Long billet n'est ce pas ?
Il fallait bien que j'explique le nom de ce blog non ?
Si vous avez eu la patience de me lire jusqu'au bout, commenter, cela me fera plaisir (narcissisme, quand tu nous tiens...) et j'aimerais améliorer la présentation et la technique du blog.
A plus tard donc.
Les ordinateurs portables sont formidables ont peu même se connecter au lit !!
Bref.
Vendredi dernier, je suis parti à la quête d'un pyjama : oui oui, glamour n'est ce pas, un pyjama (non je ne dors pas nue avec juste N°5 de Chanel, quoi que ce soit mon parfum...).
Etant frileuse, je préfère les pyjamas.
Me voici partie donc dans une moyenne surface de centre urbain et là je vais...rayon enfant.
Mon choix se porte sur un pyjama taille 14 ans : en effet, j'ai remarqué que, suite aux lavages successifs, certains rétrécissent et le 12 ans devient trop court. Donc je prévois.
Je passe en caisse pour payer mon achat et, à ce moment, la caissière lève les yeux de sa caisse, regarde le pyjama et l'étiquette et me demande : "c'est pour un enfant".
Ma réponse : "non c'est pour moi".
Silence de l'autre côté, silence que je sens interrogateur, interloqué, curieux, étonné (oui tout ça !).
J'ajoute donc "j'ai une taille enfant" ce qui est vrai, d'où une partie de l'intitulé de ce blog, je suis petite (mot que l'on retrouve aussi en anglais d'ailleurs, voir les blogs de plus en plus en plus nombreux sur le sujet comme ici, là, ou encore là-bas, enfin là ).
Cette remarque m'a beaucoup étonnée je l'avoue, première fois que quelqu'un s'adresse à moi de cette façon, me pose cette question.
Alors soit je fais plus grande que réellement (c'est possible, je me tiens toujours très droite), soit j'ai l'air bizarre.
Pourtant, je vous assure, mon visage est celui d'une adulte, tout comme mes vêtements.
J'en viens donc à la définition de petite.
Être petit est différent du nanisme, et voici, à ce sujet, ce qu'en dit Wikipedia :
Le nanisme est une condition héréditaire ou accidentelle qui cause un ralentissement de la croissance normale d'un être vivant.
Concernant la petite taille, voici aussi ce qu'en dit wikipedia dans le même article
La petite taille constitutionnelle : Il n'y a nanisme que si la taille est inférieure à 145 ou 140 cm (norme occidentale actuelle). Cette taille est héréditaire et non pathologique. Des parents de petite taille auront des enfants naturellement de petite taille.C'est mon cas. Mes parents étaient petits, d'origine méditerranéenne tout deux et tous mes frères et soeurs sont petits également (j'ai la "chance" d'être la plus petite, quelle joie !!).
Cependant, je vous assure, je possède un cerveau comme tous le monde, 4 membres qui fonctionnent parfaitement (et là, oui, j'ai de la chance). Les seuls "soucis que je rencontrent sont donc de l'ordre vestimentaire ou pour atteindre les objets qui sont toujours dans les étagères les plus hautes...
Pour ce qui est des vêtements , j'ai jusqu'à présent toujours pu trouver de quoi correspondre à ma vie personnelle et professionnelle : non je ne vais pas dans les rayons enfants sauf exceptions : un pull en cashmere de bonne qualité, bien moins cher, un béret. Ou bien les lignes enfants des grands couturiers : Kenzo, Burberry, Chloe, Escada, Anne Valérie Hash. Il faut alors bien choisir pour éviter de ressembler à une grande enfant.
Pour les chaussures ( je chausse du 35, certaines petites, les veinardes, chaussant du 36 ou du 37, la vie est injuste !), c'est devenu au fil des années plus compliqué sachant, de surcroît, que je suis une "coquette des pieds" (dixit un copain), bref, j'adore les chaussures. Les belles chaussures de bonne qualité. Les magasins de premier prix (style André, Minelli, Eram et consorts) commençant au 36, je n'y vais plus : ça m'arrange, la qualité est rarement au rendez vous.
Ma solution : j’écume Ebay (surtout US ou Italie, car sur la partie France, il n'y a que très peu d'articles de qualité et de bon gout- sans commentaire pour ce dernier terme...), les grandes marques comme Marc Jacobs ou autres, ou bien les outlets de grande marques. Ou encore faites sur mesure. Oui mes chaussures coutent plus chères mais je préfère investir.
J'avais, jusqu'à récemment, plusieurs paires achetées il y a presque 20 ans, encore en bon état que je portais toujours.
Combien de paires : avant la perte de certains de mes "amours", une centaine de paires je crois.
Je suis donc petite, vraiment, et, si cela a, bien sur, orienté ma façon de vivre et une partie de mon comportement, cela n'a, cependant, rien modifié sur ma façon de penser.
Je suis aussi capable que les autres, je fais autant de couenneries que les autres, je pense même être plus débrouillarde de mes mains que d'autres (je sais peindre, couper du bois, la menuiserie, la plomberie, l'effort physique ou les travaux "sales" ne n'effraient pas comme certains ou ... certaines hélas).
Mais, surtout, je ne suis pas une DEMIE ! Je suis un tout, moi même, j'ai autant de neurones que chacun.
Je ne supporte pas la condescendance à mon égard : oui je suis petite mais cela ne signifie pas que je sois une poupée, un petit objet.
Du RESPECT merci !
Long billet n'est ce pas ?
Il fallait bien que j'explique le nom de ce blog non ?
Si vous avez eu la patience de me lire jusqu'au bout, commenter, cela me fera plaisir (narcissisme, quand tu nous tiens...) et j'aimerais améliorer la présentation et la technique du blog.
A plus tard donc.
jeudi 1 novembre 2012
Passage clouté...
Oui je sais, jeu de mot (vous allez comprendre) très mauvais, indigne, ignoble, immonde et j'en passe.
Donc...
Milles ans après les gens, je viens de "succomber" aux clous...ce n'est plus une tendance à ce niveau mais une révélation ! Attention, des petits clous, enfin des choses "bizarres" qui dépassent...
Je cherche à faire un peu évolué mon style : je reste professionnelle (je travaille dans la Finance) mais moins stricte.
Donc, j'ai eu un coup de cœur pour un "perf" avec des "machins" qui ne sont pas des clous, je n'arrive pas à trouver le nom help !
Chez Zara. Oui oui. Collection TRF, en XS.
Il me va parfaitement, cintré à la taille, longueur des manches parfaite (ce qui en soi est un exploit pour moi).
Et il s'accorde bien avec le reste de mes vêtements, mes jupes droites ou mes pantalons (je n'ai pas de slims).
Bref, je l'aime.
Là il est accroché à ma porte et me regarde avec ses petits "clous" en attendant sa première sortie, en amoureux avec moi.
Ça va venir, ne t'inquiètes pas !
Et vous savez quoi ???!!
Je viens de succomber à la couleur moutarde, moi qui avais dis, au moment du plus fort de la "tendance" il y a quelques années : JAMAIS ! Avec les gestes et la voix de la diva.
Là, je craque sur des pulls, des pantalons, des manteaux. Ouiiiiiiiiiiiiiii !!
C'est officiel, je détraque ou bien je vieillis ! No comment !
Donc...
Milles ans après les gens, je viens de "succomber" aux clous...ce n'est plus une tendance à ce niveau mais une révélation ! Attention, des petits clous, enfin des choses "bizarres" qui dépassent...
Je cherche à faire un peu évolué mon style : je reste professionnelle (je travaille dans la Finance) mais moins stricte.
Donc, j'ai eu un coup de cœur pour un "perf" avec des "machins" qui ne sont pas des clous, je n'arrive pas à trouver le nom help !
Chez Zara. Oui oui. Collection TRF, en XS.
Il me va parfaitement, cintré à la taille, longueur des manches parfaite (ce qui en soi est un exploit pour moi).
Et il s'accorde bien avec le reste de mes vêtements, mes jupes droites ou mes pantalons (je n'ai pas de slims).
Bref, je l'aime.
Là il est accroché à ma porte et me regarde avec ses petits "clous" en attendant sa première sortie, en amoureux avec moi.
Ça va venir, ne t'inquiètes pas !
Et vous savez quoi ???!!
Je viens de succomber à la couleur moutarde, moi qui avais dis, au moment du plus fort de la "tendance" il y a quelques années : JAMAIS ! Avec les gestes et la voix de la diva.
Là, je craque sur des pulls, des pantalons, des manteaux. Ouiiiiiiiiiiiiiii !!
C'est officiel, je détraque ou bien je vieillis ! No comment !
Des avis, des idées, des emmerdes ???!!!
Pardon lecteur pour cette parodie du titre d'une chanson de M. Aznavour ....
Ce blog est, aussi un peu, un blog de mode donc... voilà de quoi faire.
Je cherchais depuis des années un trench, oui un trench ! Ah ah vous vous attendiez à quelque chose de plus croustillant, une recherche plus ...pointue ? Et non, enfin, pas tout de suite (ça c'est du teasing non...).
J'ai d'abord eu, offert par ma maman (you ouh) un "imperméable" ; oui on appelait ça comme ça en français avant.
Beige (beigeasse à mes yeux d'ado, yurk), ceinturé, avec des accessoires métalliques qui m’agaçaient, à cause du bruit.
Ce style là :
Puis je suis passé par Humains&Mygales et j'ai acquis un imper issu de leur collection capsule avec Viktor and Rolf, sorties en 2006 (et oui). Si vous savez, la collection avec PLEIN de cœurs dedans. De belles pièces cependant : j'avais alors craqué pour une veste de smoking en laine (j'ai toujours) et le trench donc. Oui car, depuis, j'ai évolué (un peu) donc, en bonne fille, je dis trench désormais, et non plus imperméable. Je fais des progrès.
Le trench, c'était ça :
Belle matière épaisse, couleur intéressante mais mais.... oui je l'avoue, j'ai craqué sans trop penser (ah, vaste question, les femmes pensent elles, surtout en mode "shopping on "?).
Pour mes 150 cm et taille 34, ce trench est redoutable. On dirait une tente sur patte sur moi hélas ! Bref, ça ne va pas. Mais je l'ai gardé car c'est tout de même un bel article. Il faut juste quemon tailleur je fasse des modifications, notamment en longueur, voire sur la "jupe".
Et, accessoirement aussi, que je retire la laine de chat (si si laine de chat, à ce stade, je ne vois plus que ce terme) qui s'est accumulée (note à soi-même : ne pas laisser ses fringues à porter de chat ou les portes des placards OUVERTES sous peine de voir des psychopathes poilus et à pattes s'y rouler soupir...).
Il faut aussi que bon ahem voilà, que je demande gentiment à monsieur au pressing de bien vouloir euh pardon s'occuper de mon trench parce que je l'ai mis à la machine pour retirer les poils de chats...
Oui je sais, j'ai fait CA !
Le dit trench est donc importable en l'état ; l'est d'ailleurs à la cave, un peu en exil mais promis, je vais l'en sortir.
Ma quête du trench idéal continu : dans un monde parfait, bien sur, j'aurais un Burberry ou Aquascutum...Mouais ben plus tard !
En septembre, je louchais sur celui de Cyrillus :
Il est à prix réduit actuellement si cela vous intéresse.
Mais ce n'est pas celui que j'ai acheté : en me baladant (en bavant) dans les étages des Galeries Lafayette, j'ai croisé un Zara sur mon chemin..Bingo !
Voilà, j'ai ça :
De cette saison, en coton et polyester (hélas). En XS. Il me va parfaitement, même en longueur (au genou pour moi) avec, cependant, petit problème aux hanches : je ne peux pas boutonner à cet endroit, trop serré. Et oui, je suis petite mais j'ai des courbes, dont une taille fine et des hanches... affirmées (mes réserves d'hiver, je vous aime).
Autant dire que oui, se vêtir et trouver des vêtements qui me vont est un véritable challenge ! D'où l'existence de ce blog !
Il me reste aussi à changer les boutons, immondes en plastoc mais bon, il y en a plus de 20 alors j'ai un peu la flemme.
Bon je vous laisse digérer ma (longue) prose et je reviens plus tard.
Ce blog est, aussi un peu, un blog de mode donc... voilà de quoi faire.
Je cherchais depuis des années un trench, oui un trench ! Ah ah vous vous attendiez à quelque chose de plus croustillant, une recherche plus ...pointue ? Et non, enfin, pas tout de suite (ça c'est du teasing non...).
J'ai d'abord eu, offert par ma maman (you ouh) un "imperméable" ; oui on appelait ça comme ça en français avant.
Beige (beigeasse à mes yeux d'ado, yurk), ceinturé, avec des accessoires métalliques qui m’agaçaient, à cause du bruit.
Ce style là :
Puis je suis passé par Humains&Mygales et j'ai acquis un imper issu de leur collection capsule avec Viktor and Rolf, sorties en 2006 (et oui). Si vous savez, la collection avec PLEIN de cœurs dedans. De belles pièces cependant : j'avais alors craqué pour une veste de smoking en laine (j'ai toujours) et le trench donc. Oui car, depuis, j'ai évolué (un peu) donc, en bonne fille, je dis trench désormais, et non plus imperméable. Je fais des progrès.
Le trench, c'était ça :
Belle matière épaisse, couleur intéressante mais mais.... oui je l'avoue, j'ai craqué sans trop penser (ah, vaste question, les femmes pensent elles, surtout en mode "shopping on "?).
Pour mes 150 cm et taille 34, ce trench est redoutable. On dirait une tente sur patte sur moi hélas ! Bref, ça ne va pas. Mais je l'ai gardé car c'est tout de même un bel article. Il faut juste que
Et, accessoirement aussi, que je retire la laine de chat (si si laine de chat, à ce stade, je ne vois plus que ce terme) qui s'est accumulée (note à soi-même : ne pas laisser ses fringues à porter de chat ou les portes des placards OUVERTES sous peine de voir des psychopathes poilus et à pattes s'y rouler soupir...).
Il faut aussi que bon ahem voilà, que je demande gentiment à monsieur au pressing de bien vouloir euh pardon s'occuper de mon trench parce que je l'ai mis à la machine pour retirer les poils de chats...
Oui je sais, j'ai fait CA !
Le dit trench est donc importable en l'état ; l'est d'ailleurs à la cave, un peu en exil mais promis, je vais l'en sortir.
Ma quête du trench idéal continu : dans un monde parfait, bien sur, j'aurais un Burberry ou Aquascutum...Mouais ben plus tard !
En septembre, je louchais sur celui de Cyrillus :
Il est à prix réduit actuellement si cela vous intéresse.
Mais ce n'est pas celui que j'ai acheté : en me baladant (
Voilà, j'ai ça :
De cette saison, en coton et polyester (hélas). En XS. Il me va parfaitement, même en longueur (au genou pour moi) avec, cependant, petit problème aux hanches : je ne peux pas boutonner à cet endroit, trop serré. Et oui, je suis petite mais j'ai des courbes, dont une taille fine et des hanches... affirmées (mes réserves d'hiver, je vous aime).
Autant dire que oui, se vêtir et trouver des vêtements qui me vont est un véritable challenge ! D'où l'existence de ce blog !
Il me reste aussi à changer les boutons, immondes en plastoc mais bon, il y en a plus de 20 alors j'ai un peu la flemme.
Bon je vous laisse digérer ma (longue) prose et je reviens plus tard.
GPSons en coeur....
Bonjour à tous,
Et oui, je poursuis l'aventure du blog, tout en prenant mon temps : de toute les façons, personne ne lit pour le moment.
Ah, il faut en parler autour de soi, mettre des liens ? Ah bon ! Je n'ai pas encore de démarche comm' bien étudiée, désolée.
En revanche, il est sur qu'avoir un blog, c'est une démarche vers le divan....
Ce qui m'amène aujourd'hui, c'est mon (petit) problème avec le GPS et, plus particulièrement, celui du smartphone.
Plusieurs fois, le traitre m'a entrainé sur des chemins et des rues loin de mon but...à l'origine à 50 m de mon point de départ.
Oui toi là, application GPS de mon smartphone qui, allègrement, me conduit en zigzag ou bien me fait faire des détours EXPRÈS juste pour me gâcher le vie !! Si si !! Je vous assure, je suis convaincue qu'il y a une PRÉSENCE dans mon GPS qui me veut du mal.
Si vous savez, ça :
(désolé, je n'ai pas trouvé d'image de la chose en français, je ne veux pas, en outre, faire de la pub déguisée).
Bref, j'ai décidé, je reprends mon bon vieux plan papier (si vous savez, ces petits livres rouges ou bleus) ou j'imprime mon itinéraire à l'avance. Bon, je parle des plans pour les piétons bien sur.
Voilà mon petit cri de rage qui me fait perdre du temps... alors que je fais en sorte d'arriver en avance pour trouver mon chemin...Pfff moi qui suis souvent en retard, si, désormais, on ne peut même plus se fier à la machine... où va t on ? Ceci est à prendre au troisième degré bien sur !
Lecteurs qui passez par là, ne t'enfuis pas, d'autres billets sont à venir, tu pourrais même y piocher des éléments futiles.
Si, par hasard, quelqu'un me lit, pourriez vous me dire comment je fais pour intégrer les sources des images que j'insère, histoire de ne pas être dans l'illégalité trop longtemps.
Et oui, je poursuis l'aventure du blog, tout en prenant mon temps : de toute les façons, personne ne lit pour le moment.
Ah, il faut en parler autour de soi, mettre des liens ? Ah bon ! Je n'ai pas encore de démarche comm' bien étudiée, désolée.
En revanche, il est sur qu'avoir un blog, c'est une démarche vers le divan....
Ce qui m'amène aujourd'hui, c'est mon (petit) problème avec le GPS et, plus particulièrement, celui du smartphone.
Plusieurs fois, le traitre m'a entrainé sur des chemins et des rues loin de mon but...à l'origine à 50 m de mon point de départ.
Oui toi là, application GPS de mon smartphone qui, allègrement, me conduit en zigzag ou bien me fait faire des détours EXPRÈS juste pour me gâcher le vie !! Si si !! Je vous assure, je suis convaincue qu'il y a une PRÉSENCE dans mon GPS qui me veut du mal.
Si vous savez, ça :
(désolé, je n'ai pas trouvé d'image de la chose en français, je ne veux pas, en outre, faire de la pub déguisée).
Bref, j'ai décidé, je reprends mon bon vieux plan papier (si vous savez, ces petits livres rouges ou bleus) ou j'imprime mon itinéraire à l'avance. Bon, je parle des plans pour les piétons bien sur.
Voilà mon petit cri de rage qui me fait perdre du temps... alors que je fais en sorte d'arriver en avance pour trouver mon chemin...Pfff moi qui suis souvent en retard, si, désormais, on ne peut même plus se fier à la machine... où va t on ? Ceci est à prendre au troisième degré bien sur !
Lecteurs qui passez par là, ne t'enfuis pas, d'autres billets sont à venir, tu pourrais même y piocher des éléments futiles.
Si, par hasard, quelqu'un me lit, pourriez vous me dire comment je fais pour intégrer les sources des images que j'insère, histoire de ne pas être dans l'illégalité trop longtemps.
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